"Habiter la ville, habiter la terre", c'est la nouvelle série de la Ligue des droits humains et c'est un prolongement du procès fictif de la Ligue joué ce 17 octobre dans le cadre du Festival des Libertés. On y interroge les crises auxquelles les villes sont confrontées, crise climatique et de l'accès au logement, et le dilemme que la confrontation entre ces deux crises pose parfois. Dans le troisième épisode, rencontre avec Fatima Ouassak, politologue et cofondatrice du Front des mères. Son livre a pour titre: Pour une écologie pirate et nous serons libres, aux éditions La Découverte. Merci à Fatima Ouassak Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

"Habiter la ville, habiter la terre", c'est la nouvelle série de la Ligue des droits humains et c'est un prolongement du procès fictif de la Ligue joué ce 17 octobre dans le cadre du Festival des Libertés. On y interroge les crises auxquelles les villes sont confrontées, crise climatique et de l'accès au logement, et le dilemme que la confrontation entre ces deux crises pose parfois. Dans le deuxième épisode, on s'intéresse à l'adaptation des villes au changement climatique et aux rôles de ces espaces verts. Avec Simon De Muynck, coordinateur du centre d'écologie urbaine et chercheur à l'ULB Et Amandine Tiberghien et Marius Pailhès de Natagora Merci 1000 fois aux intervenant·es de cet épisode ! Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

"Habiter la ville, habiter la terre", c'est la nouvelle série de la Ligue des droits humains et c'est un prolongement du procès fictif de la Ligue joué ce 17 octobre dans le cadre du Festival des Libertés. On y interroge les crises auxquelles les villes sont confrontées, crise climatique et de l'accès au logement, et le dilemme que la confrontation entre ces deux crises pose parfois. Dans le premier épisode, on sonde cette crise du logement à Bruxelles avec les personnes qui la vivent au quotidien. Avec Mathieu Biotteau de l'Union des Locataires Marollienne, Abdelouahid, Filipa et Colette (prénom d'emprunt), Merci aussi à Anne Bauwelinckx du RBDH, le Rassemblement bruxellois pour le droit à l'habitat et Margaux Hallot pour l'interview. Merci 1000 fois aux intervenant·es de cet épisode Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

La reconnaissance faciale, on a souvent l’impression qu’elle appartient à un monde de science-fiction ou que c’est un outil très performant utilisé par des dictatures lointaines, comme la Chine, par exemple. Pourtant, cette technologie biométrique s’installe petit à petit dans les pays européens. Dans le troisième épisode, on fera le tour des raisons d'espérer :). Parce que l'Union européenne est en train de réguler l'usage de l'intelligence artificielle, dans son AI ACT - ce n'est pas gagné, mais il y a d'importantes balises qui peuvent être posées - et puis des villes s'opposent à l'usage de la reconnaissance faciale dans leurs rues: c'est le cas de Lausanne en Suisse, vous entendrez l'un des conseillers communaux de la majorité. Enfin, on vous parlera de la campagne lancée par 8 associations dont la Ligue (la coalition protectmyface) pour que Bruxelles prenne une résolution forte pour l'interdiction de la reconnaissance faciale. Merci à Franck Dumortier chercheur à la VUB, Chloé Bérthélemy conseillère politique chez EDRI, l'European Digital Rights, Benoît Gaillard, conseiller communal de la Ville de Lausanne et puis Joke Blockx, directrice de la Liga voor mensenrechten, Nicha Mbuli, juriste au MRAX et Rémy Farge de la Ligue des droits humains. Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

La reconnaissance faciale, on a souvent l’impression qu’elle appartient à un monde de science-fiction ou que c’est un outil très performant utilisé par des dictatures lointaines, comme la Chine, par exemple. Pourtant, cette technologie biométrique s’installe petit à petit dans les pays européens. Dans le deuxième épisode, on reviendra sur les projets-pilotes de reconnaissance faciale menés par la police ces dernières années, sans cadre légal. Et puis on tentera de comprendre en quoi la reconnaissance faciale pourrait entraver nos droits et libertés fondamentales. Merci à Franck Dumortier et Rosamunde Van Brakel, toustes deux chercheur·euses à la VUB ainsi que Chloé Bérthélemy d'EDRI, l'European Digital Rights. Doublage réalisé par Caroline Dewynter. Le troisième épisode nous donnera des raisons d'espérer: ensemble, nous pouvons faire la différence! Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

La reconnaissance faciale, on a souvent l’impression qu’elle appartient à un monde de science-fiction ou que c’est un outil très performant utilisé par des dictatures lointaines, comme la Chine, par exemple. Pourtant, cette technologie biométrique s’installe petit à petit dans les pays européens. Dans ce premier épisode, on se demande comment fonctionne la reconnaissance faciale et si Bruxelles possède déjà l'infrastructure pour s'en équiper? Avec les interventions d'Emmanuelle Hardy et Rémy Farge, juriste et formateur à la Ligue des droits humains. Avec Corentin Debailleul, chercheur en géographie urbaine à l'ULB et Catherine Forget, avocate et assistante à Saint-Louis. Les autres deux épisodes évoqueront les dérives de la reconnaissance faciale (2ème épisode) avec Franck Dumortier et Rosamunde Van Brakel, toustes deux chercheur·euses à la VUB ainsi que Chloé Bérthélemy d'EDRI, l'European Digital Rights. Le troisième épisode nous donnera des raisons d'espérer: ensemble, nous pouvons faire la différence! Stay tuned! Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

Se marier à la commune, faire reconnaître un lien de paternité par la commune, ce ne sont que de simples formalités pour les personnes qui sont nées en Belgique. Pour d'autres, pour les couples mixtes comme on les appelle, c'est le parcours du combattant. C'est ce que l'on vous raconte dans cette nouvelle série du podcast de la Ligue des droits humains qui a pour titre « Sans papiers, famille recalée ». Le troisième épisode descend sur le terrain, au contact des praticien.nes: avocate, officier de l'état civil et parquet. Bonne écoute!

Se marier à la commune, faire reconnaître un lien de paternité par la commune, ce ne sont que de simples formalités pour les personnes qui sont nées en Belgique. Pour d'autres, pour les couples mixtes comme on les appelle, c'est le parcours du combattant. C'est ce que l'on vous raconte dans cette nouvelle série du podcast de la Ligue des droits humains qui a pour titre « Sans papiers, famille recalée ». Dans ce deuxième épisode, on tente de mieux comprendre la problématique avec Patrick Wautelet, professeur de droit international à l'Université de Liège. Bonne écoute ! Récit et Montage: Garance Hugo    

Se marier à la commune, faire reconnaître un lien de paternité par la commune, ce ne sont que de simples formalités pour les personnes qui sont nées en Belgique. Pour d'autres, pour les couples mixtes comme on les appelle, c'est le parcours du combattant. C'est ce que l'on vous raconte dans cette nouvelle série du podcast de la Ligue des droits humains qui a pour titre « Sans papiers, famille recalée ». Le premier épisode est une rencontre avec Stéphanie et Ahmed, un couple confronté à ces difficultés et à deux ans de procédure pour qu'Ahmed soit le papa de son enfant aussi sur le papier. Bonne écoute ! Récit et Montage: Garance Hugo      

Dans cette nouvelle série du podcast de "Quels droits on se chauffe", on vous propose de mesurer la crise de l'État de droit que traverse notre pays. Le premier épisode voulait expliquer ce qu'est ce principe. Dans le deuxième épisode, on s'est demandé si l'État de droit était vraiment mort en Belgique... Enfin, dans ce troisième épisode, on s'interroge sur les leviers qui restent quand l'État de droit est grippé avec un focus en particulier sur ce qui se passe en Pologne. Vous écoutez de quels droits on se chauffe, le podcast de la Ligue des droits humains c’est notre quatrième série et elle a pour titre: l’État de droit, c’est à la carte?

"En s’asseyant sur des décisions de justice, le gouvernement belge sape les fondements de l’État de droit" Le rapport 2022 de la Ligue des droits humains est sorti ! L’État des droits humains analyse l’année écoulée sur le terrain des droits fondamentaux. Après la longue crise liée au coronavirus, 2022 a été bousculée par la guerre en Ukraine et la crise énergétique qui s’en est suivie, avec des prix qui ont explosé et fragilisé plus encore une partie de la population. Mais une autre crise, plus insidieuse, s’installe dans notre pays : celle de l’État de droit. Dans cette nouvelle série du podcast de "Quels droits on se chauffe", on vous propose de décortiquer ce principe fondamental, de comprendre ce qu’il y a à l’intérieur – c’est le premier épisode  – On se demandera aussi si l’état de droit est vraiment mort en Belgique, s’il n’y a plus de pouls du tout (deuxième épisode) Enfin, on imaginera les leviers qui restent quand l’état de droit est grippé (troisième épisode, en cours de fabrication). Vous écoutez de quels droits on se chauffe, le podcast de la Ligue des droits humains c’est notre quatrième série et elle a pour titre: l’État de droit, c’est à la carte?

"En s’asseyant sur des décisions de justice, le gouvernement belge sape les fondements de l’État de droit" Le rapport 2022 de la Ligue des droits humains est sorti ! L’État des droits humains analyse l’année écoulée sur le terrain des droits fondamentaux. Après la longue crise liée au coronavirus, 2022 a été bousculée par la guerre en Ukraine et la crise énergétique qui s’en est suivie, avec des prix qui ont explosé et fragilisé plus encore une partie de la population. Mais une autre crise, plus insidieuse, s’installe dans notre pays : celle de l’État de droit. Dans cette nouvelle série du podcast de Quels droits on se chauffe, on vous propose de décortiquer ce principe fondamental, de comprendre ce qu’il y a à l’intérieur – c’est le premier épisode  – On se demandera aussi si l’état de droit est vraiment mort en Belgique, s’il n’y a plus de pouls du tout. Enfin, on imaginera les leviers qui restent quand l’état de droit est grippé… Vous écoutez de quels droits on se chauffe, le podcast de la Ligue des droits humains c’est notre quatrième série et elle a pour titre: l’État de droit, c’est à la carte? 

Dans le cadre du Festival des Libertés, la Ligue des droits humains propose la troisième édition de son procès-fiction: "On va où, maman?". Au centre de ce spectacle-conférence, sont évoqués le placement des enfants en institution, le manque de moyens du secteur de l’aide à la jeunesse et le rôle de la société dans la protection de l’enfant. Pour prolonger la réflexion sur ce sujet très sensible, "De quels droits (on se chauffe)", le podcast de la Ligue des droits humains, vous propose de dézoomer un peu et de décortiquer ce qu'il y a derrière le terme "droits de l'enfant": Quels sont ces droits de l'enfant? Est-ce que ce sont les mêmes que ceux des adultes? La Belgique respecte-t-elle les droits de l'enfant? Sur quels dossiers faut-il encore faire bouger les lignes ? On répond à toutes ces questions au cours d'un entretien avec Anne-Catherine Rasson, spécialiste de la question. Merci à elle et aux deux Louise, Edouard, Wiame, Hugo, Zao, Milo, Moly, Antoine et Justin. 

Dans le cadre du Festival des Libertés, la Ligue des droits humains propose la troisième édition de son procès-fiction: "On va où, maman?". Au centre de ce spectacle-conférence, sont évoqués le placement des enfants en institution, le manque de moyens du secteur de l’aide à la jeunesse et le rôle de la société dans la protection de l’enfant.  Pour prolonger la réflexion sur ce sujet très sensible, "De quels droits on se chauffe", le podcast de la Ligue des droits humains, s'est glissé dans le bureau de la juge de la jeunesse au tribunal de Bruxelles, Michèle Méganck. Merci à Bernard De Vos, délégué général aux droits de l'enfant Merci aussi à la juge Méganck de nous avoir accordé ce temps précieux!  Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon 

Dans le cadre du Festival des Libertés, la Ligue des droits humains propose la troisième édition de son procès-fiction: "On va où, maman?". Au centre de ce spectacle-conférence, sont évoqués le placement des enfants en institution, le manque de moyens du secteur de l’aide à la jeunesse et le rôle de la société dans la protection de l’enfant. Pour prolonger la réflexion sur ce sujet très sensible, "De quels droits on se chauffe", le podcast de la Ligue des droits humains, a tendu son micro à plusieurs enfants qui vivent cette réalité du placement.  1000 mercis à L., L., L., M., D., L. et E. qui ont accepté de se raconter,  Et merci aussi au personnel de cette institution bruxelloise qui a permis ces échanges.  Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

Dans ce troisième épisode, on remonte le temps et on "lit" dans les murs de la prison de Forest. Son architecture est le reflet des réflexions autour de l'enfermement au 20ième siècle, c'est un patrimoine architectural et historique qu'il faut préserver. Merci à Xavier Rousseaux, Raoul Fontaine et l'ARAU, merci aussi à C.  Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

Le deuxième épisode questionne la prison et le système pénal: combien la prison coûte-t-elle, à quoi sert-elle, quels sont ses résultats?  Olivia Nederlandt, professeure de droit pénal et Harold Sax, co-président de l'OIP, l'Observatoire International des Prisons et avocat pénaliste répondent à ces trois questions. Merci à Alias, An-Sofie Vanhouche, Olivia Nederlandt, Harold Sax, Luk Vervaet et Olivier Boutry Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon 

À l'automne 2022, la prison de Forest va fermer ses portes. Les personnes détenues seront transférées dans la prison de Haren, en bordure de région bruxelloise. Ce moment-charnière est pour nous (Ligue des droits humains, section belge de l'OIP - Observatoire International des Prison, Luk Vervaet qui a enseigné dans les prisons et Jean-Marc Mahy, éduc'acteur) l'opportunité de faire de cette prison un Musée.  Dans cette deuxième série, on vous explique en quoi ce projet est une nécessité.  Le premier épisode vous propose une rencontre avec Jean-Marc Mahy, éduc'acteur et ancien détenu. Jean-Marc nous raconte son expérience de guide dans la prison de Tongres. C'était entre 2006 et 2008. Près de 300.000 personnes ont visité la prison de Tongres devenue Musée. Merci à Jean-Marc Mahy  Récit: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon 

De quels droits (on se chauffe) vous raconte en deux épisodes l'histoire d'une femme qui a compté et compte toujours pour la Ligue des droits humains. Il s'agit de Régine Orfinger-Karlin. Née au début du 20ème siècle, c'est l'une des premières avocates du pays. Elle entre dans la résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 50, elle participera à la refondation de la Ligue des droits humains, réduite au silence pendant les années de guerre. Régine Orfinger-Karlin sera ensuite en première ligne pour défendre les droits des femmes (égalité des salaires, avortement, etc.) et des droits des étrangers. Une forte tête, une avocate charismatique, une résistante, une défenseuse des droits humains qui a fait bouger les lignes: la Ligue des droits humains fait le vœu que son nom ne s'efface pas de la mémoire collective. Merci à Pierre et Cordelia Orfinger, Claudine Marissal, historienne au CARHIF, Réginald de Béco et Georges-Henri Beauthier  Récit et montage: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon

De quels droits (on se chauffe) vous raconte en deux épisodes l'histoire d'une femme qui a compté et compte toujours pour la Ligue des droits humains. Il s'agit de Régine Orfinger-Karlin. Née au début du 20ème siècle, c'est l'une des premières avocates du pays. Elle entre dans la résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 50, elle participera à la refondation de la Ligue des droits humains, réduite au silence pendant les années de guerre. Régine Orfinger Karlin sera ensuite en première ligne pour défendre les droits des femmes (égalité des salaires, avortement, etc.) et des droits des étrangers. Une forte tête, une avocate charismatique, une résistante, une défenseuse des droits humains qui a fait bouger les lignes: la Ligue des droits humains fait le vœu que son nom ne s'efface pas de la mémoire collective.  Merci à Pierre et Cordelia Orfinger, Claudine Marissal du CARHIF et José Gotovitch Merci aussi à l'atelier de production Dérives qui nous a permis d'utiliser l'extrait du documentaire "A mon père résistant", d'André Dartevelle (1995) Récit et montage: Aline Wavreille Musique: Simon Rosillon